10h30 – Magazine

En lien avec notre série documentaire de Carême consacrée aux écrivains spirituels, David Milliat reçoit en plateau notre chroniqueur livre au Jour du Seigneur, Michel Cool, qui se fait pour nous lecteur le temps du Carême.

Pourquoi lire pendant le Carême ? En quoi la littérature peut-elle nous aider durant ces 40 jours de conversion ? Une manière de cheminer autrement à travers des parcours et des mots d’écrivains.

Cette semaine, David Milliat et Michel Cool s’intéressent à Eric de Rus et à la poésie. C’est le style adopté par l’écrivain entre autres dans son dernier ouvrage « La Présence, une expérience poétique » (Editions Mélibée, 2017).

Retrouvez également « Les tablettes de la foi ». Cette semaine, ce court format d’animation qui décortique un mot ou une expression de la foi chrétienne est consacré à La foi.

10h45 – Messe célébrée en l’église de l’Assomption à Farciennes en Belgique.

Chaque dimanche, les prédicateurs du Jour du Seigneur accompagnent les téléspectateurs dans leur démarche de foi. En ce 5ème dimanche de Carême c’est le père Luc Lysy, doyen de Charleroi, qui préside cette messe et en assure la prédication.

11h30 – Documentaire « Eric de Rus, poète de la présence »

Un film réalisé par Emmanuel Querry (26mn)

Son accent chantant par lequel il prononce chaque syllabe est déjà une invitation au voyage. Un voyage un peu spécial puisqu’il s’agit de poésie. Natif de Toulouse et résidant à Saint-Gaudens, Éric de Rus est, parmi nos poètes et philosophes contemporains, celui qui explore sans doute le mieux les contrées mystiques. Les montagnes qui l’entourent, le bruissement des feuilles des arbres, les couleurs et agitations de l’océan sont pour lui autant de signes de la présence de Dieu sur terre. Autre présence importante pour cet écrivain, son épouse Catherine, qui est à la fois l’amour de sa vie, sa confidente et son âme soeur. Une relation qui s’est intensifiée il y a une vingtaine d’années au moment où Éric luttait contre un cancer. Au cours de ces années, alors que la mort semblait si proche, Éric de Rus a un jour ressenti une mystérieuse « joie ». Un instant indélébile qui a changé sa vision de la vie et qu’il exprime depuis avec de l’encre.