La France métropolitaine affiche un fort taux de suicide en Europe, qu’en est-il Outre-mer ? Les chiffres sont moins alarmistes que dans l’Hexagone, mais restent préoccupants. Quelles sont aujourd’hui les causes de ces vies dramatiquement conclues ? Quelle tranche d’âge est particulièrement touchée ? Et quels sont les moyens de prévention qui existent ? Si l’Église condamne fermement l’acte, quelles funérailles réserve-t-elle aux suicidés ? Comment les familles endeuillées sont-elles accompagnées ?  Dieu m’est témoin donne la parole cette semaine à ceux qui ont perdu un proche et qui tentent aujourd’hui de vivre malgré tout.

Nous irons à La Réunion écouter le courageux témoignage de Marie, mère de deux enfants, aujourd’hui veuve. Elle nous racontera comment elle a découvert son mari, pendu dans son garage, à 45 ans. Elle nous dira comment aujourd’hui, elle se reconstruit avec ses enfants, aidée par sa foi, mais d’abord par un soutien médical, qu’elle peine encore à trouver.

Nous serons connectés avec le P. Patrice François en Guyane. Curé de la cathédrale Saint-Sauveur à Cayenne, il tordra le cou à quelque idées reçues en rappelant que l’Église accueille tous ses enfants et propose des funérailles religieuses aux suicidés, si la famille le demande.

Nous irons également en Nouvelle-Calédonie où le suicide est la seconde cause de mortalité chez les jeunes (après les accidents de la route) comprendre pourquoi de telles statistiques existent.

Une production :

 

Recevez chaque
semaine vos newsletters :

Les différentes newsletters